NÎMES SUITE

 

 

 

QUARTIER MONT DUPLAN : Ce quartier à l’est du centre ville est une colline verte on l’on peut allez se promener. C'est le maire Duplan qui en 1861 qui eu l'idée d'aménager la colline en espace vert il chargea M. Pessad de se travail .  On peut y voir le seul Moulin qui a gardé ses ailes d'une série qui se situer sur cet espace Mont du plan-Croix de Fer ( 7 ou 8 moulins ) (1). Les autres moulin sont aujourd'hui intégrés dans des maisons d'habitation.  Ces moulins étaient sur le tracé nord des remparts Romain), Le château SIHOL (2) (Maison pour personne âgé), mais aussi Le Planétarium ou au cours de séances on peut découvrir le Ciel étoilés.

 

 

        

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 QUARTIER CROIX DE FER : Au nord du Mont Duplan et du Boulevard Gambetta, ce charment quartier Possède une belle église "ST LUC" dont la construction c'est achevée en 1895 (1), une superbe façade (prés du Réservoir d’eau dans une petite rue), plusieurs Moulins sur les sommets (intégrés dans les maisons) et la fameuse source des trois fontaines de St BAUDILE.(2). La chapelle des "Besançonnes" rue de la faïence. De style gothique, elle fut construite au XIX° siècle par Henri Revoil, pour les sœurs de Besançon qui s'installe à Nîmes en 1844. 
 

 

  
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Statue de NIMENO II : Cette statue fut érigée en l'Honneur de NIMENO II qui se donna la Mort après avoir été gravement blesser lors d'une corrida par un toto. Elle se situe sur la Place des Arènes.

Galerie Jules SALLES : Cette Galerie Fut offerte à la Mairie Par Jules Salles elle est attenante à un ancien couvent qui sert aujourd'hui de Musée sur le Bd Amiral Courbet. Construite entre 1892 et 1894, et dessinée par Max Raphel. La façade est ornée des statues de la Peinture et de la Musique, œuvres de Léopold Morice. Cette galerie vient d'être rénover à l'identique de sa construction. Elle sert de lieux d'expositions.

Chapelle des Jésuites : Église du collège des Jésuites construite entre 1673 et 1678. Conçue par un jésuite, le père Mathieu de Mourgues et bâtie par l'architecte nîmois jacques cubizol. L'architecture traduit l' influence des églises romaines de la réforme catholique. Caractérisée par une façade aux niveaux différenciés le modèle italien est ici réinterprété : largeur égale des niveaux et introduction de motifs empruntés au monuments antiques locaux.   La variété des formes et voûtes et l'éclairage zénithal, par une série de lanternon font l'originalité de la chapelle Nîmoise. Entièrement restaurée, elle sert aujourd'hui de galerie d'exposition.

 

 Ecole Rue Saint Castor

Cette école fut construite en 1898 à la place d'un bâtiment qui appartenait à la confrérie des pénitents blancs. elle a porté le non de Belle Croix avant de prendre le non de Berlioz.


 

Hôtel de BERNIS :

3 rue de Bernis, derrière la façade du XV ème siècle se cache une remarquable cour style Renaissance qui offre un décor inspiré par les grands monuments antiques de la ville.
 

Les Musées :

Musée Archéologique et science naturel

Bd Amiral COURBET

dans l’ancien couvent des Jésuites

Musée du Vieux Nîmes

Derrière la CATHÉDRALE (Place aux Herbes).

Collections d'objets d'ars et de traditions populaires depuis 1920 dans l'ancien Palais épiscopal. Il s’agit de l’ancien archevêché dans la cour duquel, lors de la Michelade, on précipita les catholiques dans un puits de nos jours disparu

Musée des Beaux Arts

Rue Cité FOULC

Musée D'art contemporain / Bibliothèque

Carré d'art Place de la Maison Carré 

AUTRES :

Square ANTONIN

Bd A. DAUDET

La statue d' Antonin est élevée en 1874, elle est en marbre de Carrare.

 

 

 

Hôtel Rivet - École des Beaux ARTS

Rue du Chapitre. édifice néoclassique construit vers 1786 pour le richissime négociant en soieries David Rivet, illustre les nouvelles tendances artistiques de la fin du XVIIIe siècle, dont le modèle est la Grèce antique. Le sol du hall d’entrée, conçu comme un atrium, est une réalisation du sculpteur Bernard Pagès. Depuis sa restauration en 1987 l’ancien hôtel particulier abrite l’Ecole Supérieure des Beaux Arts

Les 3 Piliers Route de Sauve

jusqu'au XIX siècle ils comptaient 4 pilons. c'était un monument de croix couverte. Monument rare du midi (il y avait une toiture sur la croix central ouvert au 4 vents. Monument médiéval.

 

 

Monument au Morts

 boulevard Jean-Jaurès

Le Monument-Pyramide est l’œuvre du sculpteur Lallemant, en l' honneur des héros et martyrs du combat pour la liberté,  (1949). A coté on à la statue du taureau, il à fait couler beaucoup d’encre. Il se trouvait au Trocadéro à Paris lors de l’exposition universelle de 1937. Devenu encombrant, il gagna Nîmes où les aficionados ne virent en lui qu’un “boeuf nordique”. Il est vrai que la statue en bronze est très haut perchée pour cacher le soc de charrue qu’est censé tirer le bœuf...

Square de la COURONNE

 

Le square de la Couronne est agrémenté de la statue de Daudet inaugurée en 1900. Le grand écrivain tourne le dos à l’hôtel du Midi et de la Poste qui abrita les amours de Guillaume Apollinaire avec la fameuse Lou. On peut lire 1822 sur la façade de l’hôtel désaffecté de nos jours.

 

 

 

Lycée DAUDET

Sur le Bd Victor HUGO,  est l’ancien hôpital général. Au XVIIe sous le règne de Louis XIV, on y enfermait tous les marginaux. Mendiants, prostituées, invalides, pauvres, malades, hérétiques se retrouvaient dans ces murs austères. Au début du XIXe, on transforma les bâtiments en hôpital puis en 1883, le lycée ouvrit ses portes. Les locaux furent également utilisés comme musée, ce qui explique les sculptures et frises à l’intérieur. Sur le haut de la façade, en levant la tête, on découvre de nombreux médaillons évoquant des scènes de médecine. À l’origine, les arcades du rez-de-chaussée étaient ouvertes.

 

Colonnes ancien théatre de Nîmes :

 Lorsque l'on arrive à Nîmes par le Sud depuis l'autoroute A54, c'est une bien curieuse surprise qui attend les voyageurs ayant décidé de faire une halte à l'aire d'autoroute de Caissargues.
C'est sur cette aire de repos que se dresse une étrange colonnade avec pour seul indice l'inscription "Théâtre" gravée sur son fronton .

Bien avant de se retrouver isolée sur cette aire d'autoroute, cette même colonnade se trouvait autrefois sept kilomètres plus au nord, en plein cœur de Nîmes. Celle-ci constituait la devanture de l'ancien Grand Théâtre de Nîmes construit au début du 19ème siècle, et qui occupait l'emplacement exact de l'actuel Carré-d'Art. Entièrement détruit à la suite d'un incendie criminel en 1952, il ne restait du Grand Théâtre que sa majestueuse colonnade. En mémoire à cet édifice culturel qui avait longtemps fait rayonner le centre nîmois, la colonnade a été déplacée pierre par pierre pour être reconstituée sur une plaine au sud de Caissargues.  du collège modèle italien est ici réinterprété : largeur égale des niveaux et introduction de motifs empruntés au monuments antiques locaux.   La variété des formes et voûtes et l'éclairage zénithal, par une série de lanternon font l'originalité de la chapelle Nîmoise. Entièrement restaurée, elle sert aujourd'hui de galerie d'exposition.

Lien : L'incendie du théatre

 

 

HISTOIRE :
450 ans av. JC : déjà à cette époque les Gaulois connurent le métissage des cultures, celle des Celtes et celle que le grand port de Phocée (Marseille) imposait à tout le Sud.

Ses origines permettent à l'ancienne Colonia Nemausensis (colonia Augusta Nemausus), cité de droit latin de la province Narbonnaise, de porter ce nom synonyme de grandeur. La conquête de la Gaule par César et ses légions (prise de Marseille en 49 Av JC), introduit la civilisation romaine. L'oppidum des Volques Arécomiques deviendra une ville selon le modèle de la grande Rome. Grâce à la Via Domitia, la ville commerce et sous le règne de l'empereur Auguste, Nîmes est une des villes, avec Lyon et Narbonne, les plus importantes en Gaule Romaine avec comme privilège de frapper sa monnaie.

1460 : II manquait dans les tribunaux de justice à Nîmes un défenseur pour les pauvres. Le louable dessein d'y en établir un fut formé et exécuté par un habitant de cette ville nommé Louis Raoul, bachelier ès lois, établissement d'autant plus important qu'il tend à tirer de la misère les pauvres. Ce charitable citoyen institua pour cela un défenseur, auquel il donna le titre d'avocat des pauvres, et dont il voulut que le ministère leur fût à perpétuité consacré. Il fit don de sa fortune à sa mort afin qu'il y est toujours un avocat pour défendre les pauvres. La maison des avocats du pauvres est au 16 Rue Fresque

La ville se rétrécit autour de la cathédrale Saint Castor et des Arènes qui servent de forteresse, lieu de refuge pour la population en cas de conflits. Jusqu'à 2000 personnes y vivaient en un véritable petit village. Nîmes vit une première renaissance à la fin des guerres de religion. Grâce à l'industrie textile, à partir du XVIIème siècle, et ses riches marchands et fabricants d'étoffes, Nîmes devient une des plus grandes ville industrielles. Le consul est chargé en 1740 par les marchands drapiers et fabricants, de modifier le cours de la source qui jusqu'alors ne présentait ni canaux ni esplanades ni plantations d'agréments. Ces innovations, avant tout techniques et économiques, facilitèrent l'exploitation de la fontaine et aboutiront à l'une des plus belles promenades de France.

La destruction des remparts, à la fin du XVIIIème siècle, et l’arrivée du chemin de fer, un siècle plus tard, donnent à la ville sa structure actuelle. Les boulevards qui cernent le cœur historique, secteur sauvegardé depuis 1985, remplacent le fossé des remparts. La construction de la gare et de l’avenue Feuchère fixent la direction de l’expansion de Nîmes, le Sud.

Nîmes se présente comme une ville moderne et dynamique comme le prouvent ses réalisations architecturales et le développement économique de sa périphérie.